On les nomme officiellement « Alimentations Générales », mais aucun parisien n’utilise ce terme. Points de lumières dans la nuit, zones de commerces à des horaires où tous les magasins sont fermés, ils sont nos « épiciers ».
Des lieux dont on ne soupçonnerait pas l’esthétisme. Et pourtant, ces petits commerces, superbement captés par la photographe Marie Hamel, sont des repères dans la nuit offrant aux noctambules une palette de couleurs exotiques via leurs étals de fruits et légumes.
Un bel hommage à ces lieux dʼéchanges et points de rencontre parisiens.